EN HAUSSE - A un mois des législatives britanniques du 7 mai, la patronne des nationalistes écossais, semble incontournable. Les sondages lui prédisent une large victoire dans son fief, ce qui la mettrait en position de force pour négocier une alliance avec les travaillistes.
LES FAITS
A désormais moins d'un moins des législatives britanniques programmées le 7 mai prochain, le SNP (Parti nationaliste écossais) est crédité de très bons sondages en Ecosse. Il obtiendrait près d'une quarantaine de sièges au total au Parlement britannique. Sa chef de file, Nicola Sturgeon, pourrait donc avoir toutes les cartes en main pour dicter sa loi à Ed Miliband, le patron des travaillistes, allاiés objectifs du SNP, qui penche plutôt à gauche de l'échiquier politique.
LE CONTEXTE
Alors que les observateurs pensaient que l'échec du référendum de septembre dernier sur l'indépendance de l'Ecosse allait plomber le SNP, l'arrivée de Nicola Sturgeon à sa tête lui a donné une bouffée d'air frais.
La nouvelle patronne des indépendantistes a clairement défini sa stratégie : tout d'abord, obtenir le maximum de sièges à Westminster aux dépens des travaillistes, dont l'Ecosse a toujours été une réserve électorale face aux conservateurs. Ensuite, moyenner au prix cher une alliance avec ces mêmes travaillistes, qui ne devraient pas avoir à eux seuls la majorité absolue pour former un gouvernement. Ils auront donc besoin d'un appui.
C'est là que Nicola Sturgeon entend entrer en scène. "Je propose d'aider à faire en sorte qu'Ed Miliband devienne Premier ministre. Même si les Tories sont le parti le plus important, nous travaillerons avec le Labour pour tenir David Cameron (ndlr : l'actuel Premier ministre) à l'écart de Downing Street", explique-t-elle.
LA SUITE
Une alliance de gouvernement entre SNP et Labour serait logique : les deux formations partagent des valeurs et des politiques communes. Ils comptent par exemple tous les deux augmenter les impôts pour les plus aisés et le salaire minimum. Europhiles l'un et l'autre, ils sont opposés à un référendum sur la place du Royaume-Uni dans l'Union européenne promis par David Cameron. Sans surprise, le SNP demande en revanche plus d'autonomie pour l'Ecosse.
Problème : si Nicola Sturgeon propose de s'allier à Ed Miliband, l'inverse est moins vrai. Le parti travailliste exclut ainsi de former un gouvernement de coalition avec des ministres SNP. Il laisse en revanche la porte ouverte à une alliance plus informelle, comme par exemple un gouvernement minoritaire assuré du soutien du SNP, voire d'autres formations
CARLA WONG KING LAURÉATE DE LA TAHITI FASHION WEEK 2015 De gauche à droite, Homai, Bruno Pauletta, Carla, la représentante de Beauty Success, Torea de Air Tahiti Nui et Alizée Superbe soirée vendredi au Méridien Tahiti lors du final de la Tahiti Fashion Week 2015. Plus de 350 personnes ont participé à un show mode de toute beauté à l‘instar des autres capitales internationales. Pas moins de neuf défilés ont été présentés avec tour à tour les créations de Raimana Cowan, Nel’s, Mérani Créations, Just Tahiti, Tahitian Move, Moya B., Tahiti & Beyond sans oublier les accessoires de Sandryne M., ainsi que le passage très attendu en tenues végétales proposés par les 15 mannequins en lice ! Car il y avait aussi un concours de mannequin ! Et c’est la superbe Carla Wong King, 16 ans, qui a eu les faveurs du jury, présidé par Bruno Pauletta, président de l’agence Brave Model Management. Carla devance Alizée, candidate n° 7 et Homai, candidate n°10.